Classe E, Mercedes fait le break

Depuis plus de 30 ans Mercedes s’est forgee une solide reputation dans le domaine des breaks. Des vehicules qui allient l’aspect pratique et un equipement sans faille, la qualite et la fonctionnalite. La nouvelle gamme respecte ces principes. Sur le break on retrouve les memes caracteristiques que sur la berline. A la fois en matiere de confort et d’equipement, de design et de motorisation. Fidele a son habitude la marque allemande a voulu positionner ce nouveau vehicule en le dotant de solides arguments. C’est le cas pour le volume de chargement. Une fois la banquette arriere repliee, on se retrouve avec un volume disponible de 1950 litres. Notons surtout sa modularite et sa fonctionnalite. La banquette rabattable 1/3-2/3 peut etre actionnee en deux endroits differents dont deux poignees situees sur les montants de support du hayon. Le hayon, lui-meme s’ouvre et se ferme automatiquement en relevant au passage le cache bagages. De meme pour les garages a plafond bas ou les personnes de petites tailles, l’angle d’ouverture du hayon peut etre programme.

Les clients les plus exigeants, ceux qui veulent caler leur chargement peuvent opter pour un astucieux systeme d’arrimage monte sur rails. Parmi les options, la marque propose aussi un systeme qui permet de rajouter une mini banquette pour deux enfants (moins de 14 ans).

Pour le reste le break possede la genetique de la famille " E ". C’est le cas pour les equipements regroupes en pack, comme l’avertisseur de franchissement de ligne, le detecteur d’angle mort, la camera de recul... c’est vrai aussi pour ce qui est des motorisations. Des son lancement le break est disponible avec deux blocs essence (350 CGI et 500) et trois en diesel (220 CDI, 250 CDI et 350 CDI). Seules les 220 CDI et 250 CDI peuvent recevoir une boite manuelle, sinon c’est boite automatique pour toutes.

Sur route le 220 CDI (tout comme le 200 CDI prevu pour debut 2010 a moins de 40 000 € que nous avons pu essayer) se montre assez vif pour faire face a de nombreuses situations et largement suffisante pour evoluer dans l’univers " radarise " actuel.

Bruno MORTIER.