La Chevrolet Spark, une citadine branchée
Essai Chevrolet (pour essai : nom du modele EB ou EC)
Publié le: 03/04/2010
La Spark semble promise à un bel avenir avec son look très contemporain, sa petite taille et son prix qui reste raisonnable.

Avis de la rédaction :
Les plus
Look séduisant Habitabilité satisfaisante Équipement généreux Assemblage rigoureux |
Les moins Amortissement Absence de poignées d’ouverture du coffre Levier de vitesses trop reculé Carrosserie trop exposée |
Succédant à l’antique Daewoo Matiz, la Chevrolet Spark, issue du vote des internautes, arrive avec deux accroches séduisantes : son look branché et son prix toujours aussi contenu.
Avec sa bonne frimousse et sa petite taille, la Spark séduira un public essentiellement urbain. Certes, l’Américaine, qui est en fait Sud- Coréenne comme son aïeule, ne bouleversera pas la catégorie. Mais cette spacieuse citadine (3,64 m de long) possède assez d’arguments stylistiques tels que sa face avant trapue, sa planche de bord inspirée de l’univers de la moto ou ses gros optiques façon Goldorak, pour venir chahuter les ténors de ce marché.
Comme c’est en ville que la Spark aime vadrouiller, elle privilégie la visibilité (avec des espaces vitrés bien pensés) et surtout la maniabilité, avec un diamètre (9,9 m) de braquage remarquable. Un vrai régal pour le conducteur, qui profite de surcroît d’une position légèrement surélevée.
Et puis, cinq portes et cinq places, pour une si petite voiture, ce n’est pas si fréquent. Il faut admettre que la Spark n’est pas tout à fait conçue pour les grands gabarits, même si l’habitabilité y est tout à fait honorable. En revanche, le coffre est le grand perdant avec un volume ridicule (170 l.), inférieur d’une trentaine de litres à ses rivales les mieux loties. Quant au châssis de la Spark, c’est le jour et la nuit avec celui de la Matiz. Empattement allongé, suspensions fermes et voies élargies sont autant de nouvelles options contribuant à la bonne stabilité de la caisse, notamment lors de manoeuvres brusques.
Il manque juste un peu plus de punch à cette Spark (968 kg), qui doit se contenter de deux petits moteurs essence, l’un de 1 litre de 68 ch et le second de 1.2 de 81 ch (notre essai). Silencieux au ralenti, ce 4 cylindres l’est beaucoup moins en charge, ses rapports de boîte assez long, nécessitant de pousser la mécanique pour réveiller les « chevaux ». Avec cette Spark, Chevrolet s’offre un véritable bain de jouvence.
Avec sa bonne frimousse et sa petite taille, la Spark séduira un public essentiellement urbain. Certes, l’Américaine, qui est en fait Sud- Coréenne comme son aïeule, ne bouleversera pas la catégorie. Mais cette spacieuse citadine (3,64 m de long) possède assez d’arguments stylistiques tels que sa face avant trapue, sa planche de bord inspirée de l’univers de la moto ou ses gros optiques façon Goldorak, pour venir chahuter les ténors de ce marché.
Comme c’est en ville que la Spark aime vadrouiller, elle privilégie la visibilité (avec des espaces vitrés bien pensés) et surtout la maniabilité, avec un diamètre (9,9 m) de braquage remarquable. Un vrai régal pour le conducteur, qui profite de surcroît d’une position légèrement surélevée.
Et puis, cinq portes et cinq places, pour une si petite voiture, ce n’est pas si fréquent. Il faut admettre que la Spark n’est pas tout à fait conçue pour les grands gabarits, même si l’habitabilité y est tout à fait honorable. En revanche, le coffre est le grand perdant avec un volume ridicule (170 l.), inférieur d’une trentaine de litres à ses rivales les mieux loties. Quant au châssis de la Spark, c’est le jour et la nuit avec celui de la Matiz. Empattement allongé, suspensions fermes et voies élargies sont autant de nouvelles options contribuant à la bonne stabilité de la caisse, notamment lors de manoeuvres brusques.
Il manque juste un peu plus de punch à cette Spark (968 kg), qui doit se contenter de deux petits moteurs essence, l’un de 1 litre de 68 ch et le second de 1.2 de 81 ch (notre essai). Silencieux au ralenti, ce 4 cylindres l’est beaucoup moins en charge, ses rapports de boîte assez long, nécessitant de pousser la mécanique pour réveiller les « chevaux ». Avec cette Spark, Chevrolet s’offre un véritable bain de jouvence.
Christian CHERON.

Moteur : 4 cylindres Carburant : essence Cylindrée : 1 206 cm3 Couple : 111 Nm à 4 800 tr/min Boîte de vitesses : manuelle 5 rapports Vitesse : 164 km/h 0 à 100 km/h : 12,1 s |
Consommation mixte : 5,1 l/100 km Urbaine : 6.6 litres/100 km Extra-urbaine : 4.2 l/100 km Longueur : 3,64 m Largeur : 1,60 m Hauteur :1,55 m Empattement : 2,38 m Réservoir : 35 litres Poids : 968 kg Coffre : 170/568 litres Émission CO2 : 119 g/km |
ÉQUIPEMENTSLes equipements de la Chevrolet SparkABS avec répartiteur de freinage (EBD), assistance au freinage d’urgence (BAS), 6 airbags, aide au stationnement arrière, antibrouillards, climatisation automatique, ordinateur, radio CD MP3, jantes 15’’. Option : Contrôle de trajectoire (300 €), films de protection de pare- chocs (150 €), peinture métallisée (400 €). |
Les rivales de la Chevrolet Spark
Ford Ka 1.2 69 ch

à partir de 12640€
En s’associant avec la plateforme de la Panda et de la 500 pour élaborer sa nouvelle Ka, Ford a réussi un coup intéressant avec un atout maître : son excellent rapport qualité-prix. Équipée d’un petit bloc essence suffisant au quotidien pour se fondre dans la jungle urbaine, elle gagnerait toutefois à « raccourcir » sa transmission.
Twingo 1.2 75 ch

à partir de 11350€
Avec ce moteur essence, la Twingo continue à faire de la cité son terrain de prédilection, tout en proposant des reprises suffisantes pour envisager une utilisation routière sans la moindre arrière-pensée. Ainsi « bâtie », la Twingo s’avère une bonne petite citadine, grâce à une habitabilité généreuse et un confort de bon niveau.