Une forte demande pour le break Logan - jeudi 5 octobre 2006
Actualité
Publié le: 06/10/2006 - Mis à jour le: 08/10/2019
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En vente depuis juillet 2005, la Logan de Renault n'a pas connu le succès escompté sur Alençon. « Nous avons vendu près de cinquante véhicules, explique Régis Monnier, vendeur auprès du concessionnaire français. Après un bon début, désormais les ventes s'essoufflent. Franchement, on s'attendait à en écouler davantage ». Les jeunes boudent le modèle (pourtant peu cher: 7 600 €), essentiellement « pour des raisons esthétiques ». La clientèle n'est pas celle supposée. « Des gens relativement aisés ont acheté une Logan comme seconde voiture. Ce sont surtout des personnes âgées », constate Régis Monnier.
En février 2007, Renault va sortir une version break. Ce véhicule fabriqué en Roumanie est présenté actuellement au salon de l'automobile à Paris. « Alors que l'on ne connaît même pas le prix, nous enregistrons déjà près d'une dizaine de préréservations », s'étonne le vendeur, « et la demande risque de s'accroître au fil des semaines ».
En vente depuis juillet 2005, la Logan de Renault n'a pas connu le succès escompté sur Alençon. « Nous avons vendu près de cinquante véhicules, explique Régis Monnier, vendeur auprès du concessionnaire français. Après un bon début, désormais les ventes s'essoufflent. Franchement, on s'attendait à en écouler davantage ». Les jeunes boudent le modèle (pourtant peu cher: 7 600 €), essentiellement « pour des raisons esthétiques ». La clientèle n'est pas celle supposée. « Des gens relativement aisés ont acheté une Logan comme seconde voiture. Ce sont surtout des personnes âgées », constate Régis Monnier.
En février 2007, Renault va sortir une version break. Ce véhicule fabriqué en Roumanie est présenté actuellement au salon de l'automobile à Paris. « Alors que l'on ne connaît même pas le prix, nous enregistrons déjà près d'une dizaine de préréservations », s'étonne le vendeur, « et la demande risque de s'accroître au fil des semaines ».
