Rallye Paris-Deauville : mécanique et élégance à l'hippodrome
Actualité
Publié le: 06/10/2008 - Mis à jour le: 10/04/2015
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Le 42e Paris-Deauville s'est achevé par un concours d'état et d'élégance. L'occasion pour les amateurs de découvrir ces engins d'un autre âge.
Les trombes d'eau n'auront pas freiné les ardeurs des passionnés de voitures anciennes. L'hippodrome de Deauville-La Touques accueillait le concours d'état et d'élégance des voitures anciennes. « Cette année, 55 équipages ont franchi la ligne de départ du rallye dont dix nouveaux par rapport à l'an dernier, explique Christiane Diboues, secrétaire du club de l'auto qui organise le rallye. Beaucoup de Britanniques pour cette édition mais aussi des Allemands, Belges, etc. »
Parader mais aussi gagner
Les voitures anciennes sont là pour parader mais aussi pour gagner. « Pour le concours d'état, les voitures sont jugées en fonction de leur authenticité par rapport au modèle d'origine, explique Jacques Maison, trésorier du club de l'auto. Les concurrents disposent d'un capital de 300 points : ils en perdent à chaque fois que le jury note un manquement au modèle d'origine. »
Pour le concours d'élégance, les critères sont tout autres. « Trois notes sont décernées pour la voiture, la tenue mais aussi le sketch au moment du défilé. Les Anglais sont très friands de cette mise en scène finale », détaille Jacques Maison.
Pour la voiture la plus remarquable, le « passionné le plus passionné » : « Le prix que tous souhaitent remporter reste le Volant d'or. » Une reconnaissance pour ces accros de la belle mécanique. « Le rallye c'est aussi l'occasion de nous retrouver, confie Christiane Diboues. On a reproché à un moment donné le côté trop select de cette réunion. Depuis que je m'occupe un peu de l'organisation, je m'efforce de le rendre convivial, chaleureux. Je pense que cela marche car les demandes affluent. » À voir les gens se serraient, sous les parapluies, dans les tribunes, on ne doute pas de l'engouement généré par la manifestation.
Résultats. Concours d'état. 1er : la Sun Beam de 1925 de M. Rodgers, Grande-Bretagne, 2e : la Horsh de 1938 de M. Kawlath, Allemagne, 3e : la Bugatti 57 de 1938 de M. Roggwiller.
Concours d'élégance. Catégorie 1945 à 1960 : 1er : l'Aston Martin de 1953 de M. Maladain. Catégorie 1931 à 1940 : 1er la Jaguar SS 100 de 1936 de Norma True. Catégorie de 1921 à 1930 : 1er la Stutz de 1929 de Mme Dolleans. Catégorie avant 1920 : 1er une Ford T de 1914 de M. Light. Prix Best of show : la Bugatti de 1936 de M. Ogliastro.
Concours de chapeaux. la Jaguar de SS 100 de 1936 de Palmero.
Source : Ouest-France
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Le 42e Paris-Deauville s'est achevé par un concours d'état et d'élégance. L'occasion pour les amateurs de découvrir ces engins d'un autre âge.
Les trombes d'eau n'auront pas freiné les ardeurs des passionnés de voitures anciennes. L'hippodrome de Deauville-La Touques accueillait le concours d'état et d'élégance des voitures anciennes. « Cette année, 55 équipages ont franchi la ligne de départ du rallye dont dix nouveaux par rapport à l'an dernier, explique Christiane Diboues, secrétaire du club de l'auto qui organise le rallye. Beaucoup de Britanniques pour cette édition mais aussi des Allemands, Belges, etc. »
Parader mais aussi gagner
Les voitures anciennes sont là pour parader mais aussi pour gagner. « Pour le concours d'état, les voitures sont jugées en fonction de leur authenticité par rapport au modèle d'origine, explique Jacques Maison, trésorier du club de l'auto. Les concurrents disposent d'un capital de 300 points : ils en perdent à chaque fois que le jury note un manquement au modèle d'origine. »
Pour le concours d'élégance, les critères sont tout autres. « Trois notes sont décernées pour la voiture, la tenue mais aussi le sketch au moment du défilé. Les Anglais sont très friands de cette mise en scène finale », détaille Jacques Maison.
Pour la voiture la plus remarquable, le « passionné le plus passionné » : « Le prix que tous souhaitent remporter reste le Volant d'or. » Une reconnaissance pour ces accros de la belle mécanique. « Le rallye c'est aussi l'occasion de nous retrouver, confie Christiane Diboues. On a reproché à un moment donné le côté trop select de cette réunion. Depuis que je m'occupe un peu de l'organisation, je m'efforce de le rendre convivial, chaleureux. Je pense que cela marche car les demandes affluent. » À voir les gens se serraient, sous les parapluies, dans les tribunes, on ne doute pas de l'engouement généré par la manifestation.
Résultats. Concours d'état. 1er : la Sun Beam de 1925 de M. Rodgers, Grande-Bretagne, 2e : la Horsh de 1938 de M. Kawlath, Allemagne, 3e : la Bugatti 57 de 1938 de M. Roggwiller.
Concours d'élégance. Catégorie 1945 à 1960 : 1er : l'Aston Martin de 1953 de M. Maladain. Catégorie 1931 à 1940 : 1er la Jaguar SS 100 de 1936 de Norma True. Catégorie de 1921 à 1930 : 1er la Stutz de 1929 de Mme Dolleans. Catégorie avant 1920 : 1er une Ford T de 1914 de M. Light. Prix Best of show : la Bugatti de 1936 de M. Ogliastro.
Concours de chapeaux. la Jaguar de SS 100 de 1936 de Palmero.
Source : Ouest-France
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