Gros coup de frein sur les ventes de Renault - samedi 2 décembre 2006
Actualité Renault
Publié le: 04/12/2006 - Mis à jour le: 08/10/2019
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Novembre n'a pas été bon pour les ventes de voitures neuves en France. Le recul atteint même 33 % pour Renault, en panne de nouveautés.
Le marché automobile français connaît un nouvel accès de déprime. Après le rebond du mois d'octobre (+8,4 %), les ventes ont baissé de 8 % en novembre par rapport à novembre 2005, avec 158 313 immatriculations.
La chute est impressionnante pour le groupe Renault qui plonge de 33% avec 31 217 unités vendues. Sa part de marché tombe à 19,7 % contre 27,1 %, un an plus tôt. La firme, qui pâtit de l'absence de grandes nouveautés, ne s'avoue pas inquiète pour autant. Elle maintient inchangée sa prévision de marge de 2,5 % en 2006.
En revanche, dans ce contexte morose, PSA Peugeot Citroën s'en sort plutôt bien. L'ensemble progresse de 3,5 %, grâce au bon résultat de Citroën, en hausse de 8,7 % (21 699 unités), qui compense la stagnation de Peugeot (- 0,1 % avec 28 968 véhicules).
Le Comité des constructeurs constate qu'après la « forte baisse enregistrée en septembre, l'embellie du mois d'octobre ne s'est pas confirmée en novembre ». L'effet Mondial de l'automobile aura été de courte durée. Sur les onze premiers mois de l'année, les ventes de voitures particulières en France baissent de 2,6 % sur un an (1 849 817 unités).
Pour les marques étrangères, le recul des ventes, en France, en novembre, a été limité à 1,7%, avec des hausses pour Volkswagen (+ 2,5%) et Fiat (+ 6,1%), ainsi que pour BMW (+12,3%) et Ford (+ 2,8%). Les constructeurs asiatiques continuent à progresser : Toyota + 11,2%; Hyundai + 27,7%; Nissan + 2,9%; Suzuki + 30,3%. En revanche, DaimlerChrysler (-7,3 %) et surtout GM Europe (-20,6 %) perdent du terrain.
Novembre n'a pas été bon pour les ventes de voitures neuves en France. Le recul atteint même 33 % pour Renault, en panne de nouveautés.
Le marché automobile français connaît un nouvel accès de déprime. Après le rebond du mois d'octobre (+8,4 %), les ventes ont baissé de 8 % en novembre par rapport à novembre 2005, avec 158 313 immatriculations.
La chute est impressionnante pour le groupe Renault qui plonge de 33% avec 31 217 unités vendues. Sa part de marché tombe à 19,7 % contre 27,1 %, un an plus tôt. La firme, qui pâtit de l'absence de grandes nouveautés, ne s'avoue pas inquiète pour autant. Elle maintient inchangée sa prévision de marge de 2,5 % en 2006.
En revanche, dans ce contexte morose, PSA Peugeot Citroën s'en sort plutôt bien. L'ensemble progresse de 3,5 %, grâce au bon résultat de Citroën, en hausse de 8,7 % (21 699 unités), qui compense la stagnation de Peugeot (- 0,1 % avec 28 968 véhicules).
Le Comité des constructeurs constate qu'après la « forte baisse enregistrée en septembre, l'embellie du mois d'octobre ne s'est pas confirmée en novembre ». L'effet Mondial de l'automobile aura été de courte durée. Sur les onze premiers mois de l'année, les ventes de voitures particulières en France baissent de 2,6 % sur un an (1 849 817 unités).
Pour les marques étrangères, le recul des ventes, en France, en novembre, a été limité à 1,7%, avec des hausses pour Volkswagen (+ 2,5%) et Fiat (+ 6,1%), ainsi que pour BMW (+12,3%) et Ford (+ 2,8%). Les constructeurs asiatiques continuent à progresser : Toyota + 11,2%; Hyundai + 27,7%; Nissan + 2,9%; Suzuki + 30,3%. En revanche, DaimlerChrysler (-7,3 %) et surtout GM Europe (-20,6 %) perdent du terrain.
