Contrôle technique pour les autos accidentées
Actualité
Publié le: 04/12/2008 - Mis à jour le: 07/04/2015
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La mise en place du nouveau système d'immatriculation auto s'accompagnera d'une plus grande vigilance dans l'expertise en cas d'accident.
Jusqu'à présent, en cas d'accident, votre assureur missionnait un expert automobile pour établir le montant des réparations. A partir du 1er janvier, toutes les procédures actuelles existantes disparaîtront au profit d'une seule : celle du « Véhicule endommagé ».
Les hommes de l'art n'auront plus qu'à répondre à une seule question : la voiture expertisée présente-t-elle un danger ? Si les critères de dangerosité ne sont pas encore totalement arrêtés, on sait déjà que les experts devront, à partir du 1er janvier, effectuer un contrôle visuel (moins exigeant qu'un contrôle technique) sur plusieurs points non directement liés aux causes de l'accident (direction, énergie, sécurité des personnes...).
Si le véhicule présente pour eux un danger, l'information remontera en préfecture. Qui enverra un courrier au propriétaire, informant ce dernier qu'il pourra voir son immatriculation bloquée tant que les réparations n'auront pas été effectuées par le garagiste (et contrôlées par l'expert). La police, connectée au fichier de la préfecture, pourra, de son côté, empêcher la voiture « dangereuse » de rouler.
Source : Ouest-France
La mise en place du nouveau système d'immatriculation auto s'accompagnera d'une plus grande vigilance dans l'expertise en cas d'accident.
Jusqu'à présent, en cas d'accident, votre assureur missionnait un expert automobile pour établir le montant des réparations. A partir du 1er janvier, toutes les procédures actuelles existantes disparaîtront au profit d'une seule : celle du « Véhicule endommagé ».
Les hommes de l'art n'auront plus qu'à répondre à une seule question : la voiture expertisée présente-t-elle un danger ? Si les critères de dangerosité ne sont pas encore totalement arrêtés, on sait déjà que les experts devront, à partir du 1er janvier, effectuer un contrôle visuel (moins exigeant qu'un contrôle technique) sur plusieurs points non directement liés aux causes de l'accident (direction, énergie, sécurité des personnes...).
Si le véhicule présente pour eux un danger, l'information remontera en préfecture. Qui enverra un courrier au propriétaire, informant ce dernier qu'il pourra voir son immatriculation bloquée tant que les réparations n'auront pas été effectuées par le garagiste (et contrôlées par l'expert). La police, connectée au fichier de la préfecture, pourra, de son côté, empêcher la voiture « dangereuse » de rouler.
Source : Ouest-France
