Bruno Saby, invité d'honneur du rallycross de Lohéac
Actualité
Publié le: 09/09/2009 - Mis à jour le: 07/04/2015
P2857_090907.jpg« Le rallycross, ça a commencé ici ! »
Trois questions à Bruno Saby, invité d'honneur du rallycross de Lohéac
Pourquoi le rallycross de Lohéac a-t-il une telle place ?
Mais tout a commencé ici, grâce à Michel Hommell. Il a su amener à Lohéac des gens de renoms, comme Ragnotti, Jean Todt. A l'époque, c'était une mini-révolution. Il n'y a pas beaucoup de manifestations sportives aussi spectaculaires. Le bouche-à-oreille a fait le reste. Et puis, il y a une âme autour de cette épreuve.
Vous n'avez plus conduit à Lohéac depuis 1998. Qu'est ce qui a changé par rapport à cette époque ?
Aujourd'hui, les pilotes font plus dans la finesse et l'efficacité. Avant, ça glissait, on contre-braquait partout (rires). Ce qui m'a le plus surpris, c'est le circuit. Je me souviens des débuts, il y avait des talus de chaque côté. Maintenant, avec les vibreurs et les dégagements, c'est un régal. Ça gagne beaucoup en adhérence.
Vous parliez des grands noms qui sont passés à Lohéac. On a l'impression, aujourd'hui, qu'il y a moins de « vedettes » à sortir du rallycross ?
Attention, ici, il y a des spécialistes, même si leurs noms sonnent moins aux oreilles du grand public. Toutes les disciplines automobiles sont devenues cloisonnées. Chacun a sa spécialité, on ne peut plus bifurquer comme à mon époque. C'est pour cela que je comprends qu'un pilote comme Sébastien Loeb ait envie de voir autres choses avec la F1.
(Source : Ouest-France)
Trois questions à Bruno Saby, invité d'honneur du rallycross de Lohéac
Pourquoi le rallycross de Lohéac a-t-il une telle place ?
Mais tout a commencé ici, grâce à Michel Hommell. Il a su amener à Lohéac des gens de renoms, comme Ragnotti, Jean Todt. A l'époque, c'était une mini-révolution. Il n'y a pas beaucoup de manifestations sportives aussi spectaculaires. Le bouche-à-oreille a fait le reste. Et puis, il y a une âme autour de cette épreuve.
Vous n'avez plus conduit à Lohéac depuis 1998. Qu'est ce qui a changé par rapport à cette époque ?
Aujourd'hui, les pilotes font plus dans la finesse et l'efficacité. Avant, ça glissait, on contre-braquait partout (rires). Ce qui m'a le plus surpris, c'est le circuit. Je me souviens des débuts, il y avait des talus de chaque côté. Maintenant, avec les vibreurs et les dégagements, c'est un régal. Ça gagne beaucoup en adhérence.
Vous parliez des grands noms qui sont passés à Lohéac. On a l'impression, aujourd'hui, qu'il y a moins de « vedettes » à sortir du rallycross ?
Attention, ici, il y a des spécialistes, même si leurs noms sonnent moins aux oreilles du grand public. Toutes les disciplines automobiles sont devenues cloisonnées. Chacun a sa spécialité, on ne peut plus bifurquer comme à mon époque. C'est pour cela que je comprends qu'un pilote comme Sébastien Loeb ait envie de voir autres choses avec la F1.
(Source : Ouest-France)
