Le RCZ, tout le savoir-faire de Peugeot
Essai Peugeot Peugeot RCZ
Publié le: 05/06/2010
Le duel sur la piste des 24 Heures du Mans entre Peugeot et Audi ne leur suffisait pas. Les deux marques s’affrontent de nouveau.

Avis de la rédaction :
Les plus
Design Tarif compétitif Bonne tenue de route Originalité du pavillon Lunette arrière au double bossage |
Les moins
Places arrière étriquées Suspensions un peu dures Qualité de certains plastiques |
En effet, les deux constructeurs croisent le fer sur la route avec un coupé haut de gamme.
Avec le RCZ, le « lion » sort de nouveau ses griffes comme aux plus belles heures des modèles emblématiques de la marque. À l’image du cousin Citroën, avec sa série DS inaugurée par la DS3, Peugeot s’est engouffré dans la niche des produits décalés « Hors série » symbolisant le véhicule plaisir, la créativité et le sport. C’est d’ailleurs le premier modèle à étrenner le nouveau lion et à arborer trois lettres sans le moindre chiffre. Suffisant pour rivaliser avec l’Audi TT, la reine de la catégorie ?
À l’inverse de la concurrence, ce coupé 2+2 propose deux places « d’appoint » à l’arrière qui suffiront pour transporter deux enfants. Rationalisation des coûts oblige, elle repose sur la même plateforme que les 308, 3008 et 5008. Le coffre, lui, s’avère en revanche très généreux, avec un volume de 384 l, qui passe à 760 l lorsque l’on rabat les dossiers arrière.
Impossible, toutefois, de ne pas la comparer à une Audi TT, encore que Peugeot soit allé plus loin avec ce double bosselage de sa vitre arrière, une prouesse technologique du fabricant de verre Saint-Gobain.
Regard félin, silhouette allongée, épaules et hanches athlétiques, la poupe du RCZ ne manque pas d’allure, alors que les arches aluminium et l’aileron que l’on commande électriquement renforcent sa félinité.
Sur ce coup-là, Peugeot a particulièrement bien peaufiné son affaire en concevant une auto procurant de véritables sensations de conduite à la hauteur du style extérieur.
Voies élargies, centre de gravité bas, rigidité augmentée, il en résulte un comportement vif mais pas nerveux, une impression de facilité déconcertante à son volant. Bien posé sur ses quatre roues, le châssis du RCZ procure un réel plaisir de conduite, comme l’a prouvé notre modèle d’essai équipé du 1.6 THP.
Et oui, cela faisait longtemps qu’une Peugeot n’avait pas suscité autant d’excitation.
Avec le RCZ, le « lion » sort de nouveau ses griffes comme aux plus belles heures des modèles emblématiques de la marque. À l’image du cousin Citroën, avec sa série DS inaugurée par la DS3, Peugeot s’est engouffré dans la niche des produits décalés « Hors série » symbolisant le véhicule plaisir, la créativité et le sport. C’est d’ailleurs le premier modèle à étrenner le nouveau lion et à arborer trois lettres sans le moindre chiffre. Suffisant pour rivaliser avec l’Audi TT, la reine de la catégorie ?
À l’inverse de la concurrence, ce coupé 2+2 propose deux places « d’appoint » à l’arrière qui suffiront pour transporter deux enfants. Rationalisation des coûts oblige, elle repose sur la même plateforme que les 308, 3008 et 5008. Le coffre, lui, s’avère en revanche très généreux, avec un volume de 384 l, qui passe à 760 l lorsque l’on rabat les dossiers arrière.
Impossible, toutefois, de ne pas la comparer à une Audi TT, encore que Peugeot soit allé plus loin avec ce double bosselage de sa vitre arrière, une prouesse technologique du fabricant de verre Saint-Gobain.
Regard félin, silhouette allongée, épaules et hanches athlétiques, la poupe du RCZ ne manque pas d’allure, alors que les arches aluminium et l’aileron que l’on commande électriquement renforcent sa félinité.
Sur ce coup-là, Peugeot a particulièrement bien peaufiné son affaire en concevant une auto procurant de véritables sensations de conduite à la hauteur du style extérieur.
Voies élargies, centre de gravité bas, rigidité augmentée, il en résulte un comportement vif mais pas nerveux, une impression de facilité déconcertante à son volant. Bien posé sur ses quatre roues, le châssis du RCZ procure un réel plaisir de conduite, comme l’a prouvé notre modèle d’essai équipé du 1.6 THP.
Et oui, cela faisait longtemps qu’une Peugeot n’avait pas suscité autant d’excitation.
Christian CHÉRON.

Moteur : 4 cyl. 16 soupapes Carburant : essence Puissance : 156 ch à 5 800 tr/min Couple maxi : 240 Nm de 1 400 à 4 500 tr/min Émission de CO2 : 155 g/km Boîte de vitesses : mécanique à 6 rapports Vitesse : 215 km/h De 0 à 100 km/h : 8’’ |
Consommation mixte: 6.7 l/100 km Cycle urbain : 9.3 l/100 km Longueur : 4,29 m Largeur : 1,84 m Hauteur : 1,36 m Coffre : 321 à 639 l |
ÉQUIPEMENTSLes équipements de la Peugeot RCZEn série : 10 airbags, ABS avec aide au freinage d’urgence (AFU), ESP, assistance au démarrage en côte, répartiteur électronique de freinage (REF), air conditionné bi-zone, direction électro-hydraulique |
Les rivales de la Peugeot RCZ
Audi TT

à partir de 31820€
Histoire de conserver son attrait face à de nouvelles rivales, l’Audi TT a eu droit à une cure de jouvence. Les différences sont assez subtiles. Ainsi, sur les modèles de base (1.8 et 2.0 TFSI), le bouclier avant profite d’entrées d’air plus hautes et plus étroites. Du coup, la principale modification se situe au niveau du bloc essence (2.0 TFSI, qui passe de 200 ch à 211 ch et de 280 à 350 Nm).
Volkswagen Scirocco

à partir de 25840€
Élégant, racé et dynamique, le Scirocco se pare d’une robe capable à elle seule de déclencher une impulsion d’achat. Impossible alors d’éviter une telle rencontre. Suivant la tendance actuelle, Volkswagen utilise la technique de la suralimentation sur les blocs essence avec l’incontournable petit 1.4 TSI de 160 ch et le séduisant 2.0 TSI de 210 ch aux consommations alléchantes.