Vente d'automobiles de collection à Deauville
Actualité
Publié le: 15/07/2009 - Mis à jour le: 07/04/2015
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Les chevaux-vapeur ont remplacé les chevaux nature dans l'enceinte Elie-de-Brignac à Deauville.Un vrai bonheur pour les yeux ou les oreilles averties.
Hier, dans l'enceinte Elie-de-Brignac, Artcurial et Arqana vendaient des automobiles de collection. Le directeur, Hervé Poulain, était ravi bien que circonspect : « Dommage quand même que la vente n'ait pas eu lieu avant la crise car beaucoup de véhicules n'ont pas fait leur valeur. Nous avons un problème de réajustement des prix. Les voitures étaient particulièrement belles et ce lieu est plein de potentialité. Le cadre est superbe ».
D'habitude cette vente a lieu au palais des Congrés à Paris. Eric Hoyeau, président d'Arqana, et James Fattori (Artcurial) ont voulu tenter l'expérience à Deauville sur le ring des chevaux : « Le site s'y prête et tout le monde a l'air d'être content. Nous avons là une opportunité que nous espérons développer. »
La vente comprend 48 lots, elle est rondement menée par Maître Poulain qui connaît son sujet car il officie depuis 1973 : « Allez faites-vous plaisir avec cette Porsche 2,7 l. Cette Rolls, on commence à 40 000. Cette Mini One, parfait à Deauville. » On verra ainsi défiler des Ferrari, des Lamborghini, des Jaguar, des Mercedes, des Bentley. Bref de l'ancien, du sportif et un record : le top price des chevaux-vapeur : une Delage roadster deux portes dessinée par Figoni, un modèle de silence avec ses huit cylindres et un luxe extraordinaire.
Pour son propriétaire, M. Porz, c'est un petit bijou : « Je me serais peut-être laissé aller à partir de 300 000 € mais là 230 000 c'est insuffisant. Elle vaut mieux que cela. Cette voiture a été livrée à un anglais, John Smith, en 1930 et a été refaite à neuf en France, à Orval, de janvier 2004 à juillet 2006. Toute la structure de la caisse est en bois ».
Déjà les amateurs sont revenus autour du propriétaire. On veut négocier à l'amiable : une telle splendeur peut-elle se laisser partir ? On ne le saura pas pour le moment.
(Source : Ouest-France)
Les chevaux-vapeur ont remplacé les chevaux nature dans l'enceinte Elie-de-Brignac à Deauville.Un vrai bonheur pour les yeux ou les oreilles averties.
Hier, dans l'enceinte Elie-de-Brignac, Artcurial et Arqana vendaient des automobiles de collection. Le directeur, Hervé Poulain, était ravi bien que circonspect : « Dommage quand même que la vente n'ait pas eu lieu avant la crise car beaucoup de véhicules n'ont pas fait leur valeur. Nous avons un problème de réajustement des prix. Les voitures étaient particulièrement belles et ce lieu est plein de potentialité. Le cadre est superbe ».
D'habitude cette vente a lieu au palais des Congrés à Paris. Eric Hoyeau, président d'Arqana, et James Fattori (Artcurial) ont voulu tenter l'expérience à Deauville sur le ring des chevaux : « Le site s'y prête et tout le monde a l'air d'être content. Nous avons là une opportunité que nous espérons développer. »
La vente comprend 48 lots, elle est rondement menée par Maître Poulain qui connaît son sujet car il officie depuis 1973 : « Allez faites-vous plaisir avec cette Porsche 2,7 l. Cette Rolls, on commence à 40 000. Cette Mini One, parfait à Deauville. » On verra ainsi défiler des Ferrari, des Lamborghini, des Jaguar, des Mercedes, des Bentley. Bref de l'ancien, du sportif et un record : le top price des chevaux-vapeur : une Delage roadster deux portes dessinée par Figoni, un modèle de silence avec ses huit cylindres et un luxe extraordinaire.
Pour son propriétaire, M. Porz, c'est un petit bijou : « Je me serais peut-être laissé aller à partir de 300 000 € mais là 230 000 c'est insuffisant. Elle vaut mieux que cela. Cette voiture a été livrée à un anglais, John Smith, en 1930 et a été refaite à neuf en France, à Orval, de janvier 2004 à juillet 2006. Toute la structure de la caisse est en bois ».
Déjà les amateurs sont revenus autour du propriétaire. On veut négocier à l'amiable : une telle splendeur peut-elle se laisser partir ? On ne le saura pas pour le moment.
(Source : Ouest-France)
