Sport automobile : plus de licenciés d'ici 2012
Actualité
Publié le: 19/01/2009 - Mis à jour le: 10/04/2015
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Trois questions au président régional du sport automobile à l'occasion de la nuit du sport automobile à Condé-sur-Vire samedi.
Trois questions à...
Dominique Lunel, président du Comité régional de sport automobile de Normandie.
Le sport automobile en Normandie cela représente quoi et quelles difficultés ?
Nous sommes 3 000 passionnés dans 14 associations. Ce soir, à Condé, nous tirons un coup de chapeau à nos champions. C'est aussi une façon d'entrecroiser les « côtes » et les « rallyes » pour qu'ils fassent mieux connaissance. Quant aux difficultés, on ne ressent pas encore de baisse au niveau des engagements. Ce n'est pas la flambée du carburant qui joue, plutôt la difficulté pour les concurrents de trouver des partenaires les aidant à boucler leur budget. Le sport auto est une sacrée école de la débrouille. Le bilan 2008 est bon et je ne suis pas pessimiste pour 2009.
Quel message êtes-vous venu porter à vos adhérents ?
Je vais demander aux clubs d'augmenter le nombre de nos licenciés de plus de 50 % d'ici à 2012. C'est l'objectif à atteindre en recrutant des jeunes : chez les pilotes mais aussi dans l'encadrement, les commissaires de course. Pour y parvenir, la Fédération mettra la main à la poche pour les y aider. Pour aller discuter avec les élèves, publier des plaquettes de promotion, aider de jeunes licenciés...
Les autres priorités du président régional ?
Conserver les épreuves actuelles sur le circuit : en rallye cross comme en courses de côtes en tentant une reconnaissance de coefficient supérieur pour certaines en championnat de France. La sécurité des épreuves demeure prioritaire aussi et là je dois saluer les organisateurs qui appliquent les consignes. Une politique qui porte ses fruits car de 400 déclarations d'accidents en juillet 2007, nous sommes descendus à 140 en juillet 2008.
Recueilli par Yann Halopeau, Ouest-France
Trois questions au président régional du sport automobile à l'occasion de la nuit du sport automobile à Condé-sur-Vire samedi.
Trois questions à...
Dominique Lunel, président du Comité régional de sport automobile de Normandie.
Le sport automobile en Normandie cela représente quoi et quelles difficultés ?
Nous sommes 3 000 passionnés dans 14 associations. Ce soir, à Condé, nous tirons un coup de chapeau à nos champions. C'est aussi une façon d'entrecroiser les « côtes » et les « rallyes » pour qu'ils fassent mieux connaissance. Quant aux difficultés, on ne ressent pas encore de baisse au niveau des engagements. Ce n'est pas la flambée du carburant qui joue, plutôt la difficulté pour les concurrents de trouver des partenaires les aidant à boucler leur budget. Le sport auto est une sacrée école de la débrouille. Le bilan 2008 est bon et je ne suis pas pessimiste pour 2009.
Quel message êtes-vous venu porter à vos adhérents ?
Je vais demander aux clubs d'augmenter le nombre de nos licenciés de plus de 50 % d'ici à 2012. C'est l'objectif à atteindre en recrutant des jeunes : chez les pilotes mais aussi dans l'encadrement, les commissaires de course. Pour y parvenir, la Fédération mettra la main à la poche pour les y aider. Pour aller discuter avec les élèves, publier des plaquettes de promotion, aider de jeunes licenciés...
Les autres priorités du président régional ?
Conserver les épreuves actuelles sur le circuit : en rallye cross comme en courses de côtes en tentant une reconnaissance de coefficient supérieur pour certaines en championnat de France. La sécurité des épreuves demeure prioritaire aussi et là je dois saluer les organisateurs qui appliquent les consignes. Une politique qui porte ses fruits car de 400 déclarations d'accidents en juillet 2007, nous sommes descendus à 140 en juillet 2008.
Recueilli par Yann Halopeau, Ouest-France
