Sortie de route pour Flavio Briatore
Actualité
Publié le: 17/09/2009 - Mis à jour le: 07/04/2015
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Formule 1. L'écurie Renault s'est séparée de son directeur et ne conteste plus les allégations de tricherie.
Exit Flavio Briatore, le tout puissant patron de Renault F1.
Accusé d'avoir volontairement organisé un accident lors du Grand Prix de Singapour 2008, on lui a retiré le volant.
Même chose pour le directeur exécutif de l'ingénierie Pat Symonds. Confrontée à une cascade d'accusations, l'écurie française a choisi de se séparer de ses deux plus hauts dirigeants. Et de plaider coupable.
Cinq jours avant sa comparution devant le Conseil mondial de l'automobile, cette double exclusion sonne en effet comme un aveu, confirmé par le fait qu'elle « ne contestera pas » ce qu'on lui reproche : avoir demandé à Piquet Jr de percuter volontairement un mur pour favoriser son coéquipier Fernando Alonso, finalement vainqueur ce jour-là.
Le richissime italien à la chevelure blanchissante et au teint toujours bronzé avait avoué ne pas « aimer la Formule 1, mais juste le produit que je fabrique ». Le paddock le lui rendait bien. Ce personnage central du petit monde de la F1 a perdu son bras de fer.
(Source : Ouest-France)
Formule 1. L'écurie Renault s'est séparée de son directeur et ne conteste plus les allégations de tricherie.
Exit Flavio Briatore, le tout puissant patron de Renault F1.
Accusé d'avoir volontairement organisé un accident lors du Grand Prix de Singapour 2008, on lui a retiré le volant.
Même chose pour le directeur exécutif de l'ingénierie Pat Symonds. Confrontée à une cascade d'accusations, l'écurie française a choisi de se séparer de ses deux plus hauts dirigeants. Et de plaider coupable.
Cinq jours avant sa comparution devant le Conseil mondial de l'automobile, cette double exclusion sonne en effet comme un aveu, confirmé par le fait qu'elle « ne contestera pas » ce qu'on lui reproche : avoir demandé à Piquet Jr de percuter volontairement un mur pour favoriser son coéquipier Fernando Alonso, finalement vainqueur ce jour-là.
Le richissime italien à la chevelure blanchissante et au teint toujours bronzé avait avoué ne pas « aimer la Formule 1, mais juste le produit que je fabrique ». Le paddock le lui rendait bien. Ce personnage central du petit monde de la F1 a perdu son bras de fer.
(Source : Ouest-France)
