Newey de la F1 à la Ford GT40 - Mayenne Sarthe - dimanche 9 juillet 2006
Actualité Ford
Publié le: 10/07/2006 - Mis à jour le: 08/10/2019
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Ingénieur star de l'écurie de F1 Redbull, il troque le PC pour le casque et court sur une Ford GT 40. Rencontre avec un passionné.
Adrian Newey est unanimement reconnu comme l'un des tout meilleurs ingénieurs de la Formule 1. Il a participé aux heures de gloire des Williams et Mc Laren, avant d'être récupéré par l'écurie Redbull. Loin des circuits de F1, Newey passe, le temps d'un week-end, de l'autre côté de la piste. Ici, il n'est pas l'ingénieur de génie, simplement un pilote parmi les autres. Deux expériences pas si différentes que ça : « l'une est mon métier, l'autre un loisir, mais le sentiment de compétition et de dépassement de soi est le même ». Pour sa deuxième participation à Le Mans Classic, le Britannique pilote une Ford GT 40 : « C'est une voiture mythique qui a couru les 24 heures en 1969. Pouvoir la conduire sur ce circuit aujourd'hui, c'est magique ». Dans le paddock, Newey veille minutieusement à la préparation de la voiture. Tout doit être parfait. Adrian Newey a pris, très jeune, le virus de la compétition automobile : « Dès l'âge de 6 ans, j'étais passionné par la course. J'ai fait du karting à 13 ans. Ça m'a plu ». Newey mène de brillantes études d'ingénieurs à l'université et réussira, quelques années plus tard, à faire de sa passion un métier en intégrant le milieu très fermé de la Formule 1. Au Mans, Newey est dans la lumière mais reste humble : « Je suis venu avant tout pour prendre du plaisir, mais je ferai tout mon possible pour amener la voiture au meilleur classement possible ». CarNewey a l'esprit de compétition dans les gènes. Dans les allées, les fans de sports mécaniques reconnaissent Adrian Newey. Accessible, il s'arrête pour signer des autographes. Certains sont étonnés de voir l'ingénieur habitué aux technologies de pointe participer à une épreuve de voitures anciennes. Pour Newey, il ne faut pas y voir un paradoxe, bien au contraire : « La F1 est un métier exigeant qui laisse peu de temps libre. Courir sur des voitures très différentes des F1 me permet de réellement passer à autre chose, c'est justement ça qui est excitant ». En expert qu'il est, Newey apprécie le tracé manceau et trouve l'ambiance sur le circuit « fantastique ».
Ingénieur star de l'écurie de F1 Redbull, il troque le PC pour le casque et court sur une Ford GT 40. Rencontre avec un passionné.
Adrian Newey est unanimement reconnu comme l'un des tout meilleurs ingénieurs de la Formule 1. Il a participé aux heures de gloire des Williams et Mc Laren, avant d'être récupéré par l'écurie Redbull. Loin des circuits de F1, Newey passe, le temps d'un week-end, de l'autre côté de la piste. Ici, il n'est pas l'ingénieur de génie, simplement un pilote parmi les autres. Deux expériences pas si différentes que ça : « l'une est mon métier, l'autre un loisir, mais le sentiment de compétition et de dépassement de soi est le même ». Pour sa deuxième participation à Le Mans Classic, le Britannique pilote une Ford GT 40 : « C'est une voiture mythique qui a couru les 24 heures en 1969. Pouvoir la conduire sur ce circuit aujourd'hui, c'est magique ». Dans le paddock, Newey veille minutieusement à la préparation de la voiture. Tout doit être parfait. Adrian Newey a pris, très jeune, le virus de la compétition automobile : « Dès l'âge de 6 ans, j'étais passionné par la course. J'ai fait du karting à 13 ans. Ça m'a plu ». Newey mène de brillantes études d'ingénieurs à l'université et réussira, quelques années plus tard, à faire de sa passion un métier en intégrant le milieu très fermé de la Formule 1. Au Mans, Newey est dans la lumière mais reste humble : « Je suis venu avant tout pour prendre du plaisir, mais je ferai tout mon possible pour amener la voiture au meilleur classement possible ». CarNewey a l'esprit de compétition dans les gènes. Dans les allées, les fans de sports mécaniques reconnaissent Adrian Newey. Accessible, il s'arrête pour signer des autographes. Certains sont étonnés de voir l'ingénieur habitué aux technologies de pointe participer à une épreuve de voitures anciennes. Pour Newey, il ne faut pas y voir un paradoxe, bien au contraire : « La F1 est un métier exigeant qui laisse peu de temps libre. Courir sur des voitures très différentes des F1 me permet de réellement passer à autre chose, c'est justement ça qui est excitant ». En expert qu'il est, Newey apprécie le tracé manceau et trouve l'ambiance sur le circuit « fantastique ».
