WRC Rallye de Sardaigne : Loeb en tête
Actualité
Publié le: 06/05/2011 - Mis à jour le: 07/04/2015
P3469_110506.jpg© CITROEN COMMUNICATION / JEROME LEJEUNE
Sébastien Loeb (Citroën DS3) était en tête du rallye de Sardaigne, 5e manche du Championnat du monde des rallyes (WRC), après les quatre premières épreuves spéciales (ES1 à ES4), malgré le handicap de balayer la couche de terre en passant le premier sur la route.
"C'est plutôt pas mal, vu notre position sur la route", a dit Loeb au regroupement de Siamanna, avant une assistance express de 15 minutes dans ce petit village de la côte ouest de l'île. "Le balayage n'était pas si pénalisant, car le sol était très dur", a ajouté le septuple champion du monde, déjà débarassé de la Ford de Jari-Matti Latvala.
Le Finlandais, vainqueur en Sardaigne en 2009, est allé deux fois de suite à la faute, dans l'ES2 et l'ES3, et a arrêté les frais pour cette 1re journée. Mikko Hirvonen, deuxième sur la route dans l'autre Fiesta officielle, a été plus prudent, suivant les traces de Loeb, y compris "celles où il passait un peu large", et pointait à 13h00 à moins de trois secondes de l'Alsacien.
Cette première matinée marquait les débuts du retour de Mini en WRC et Kris Meeke, en profitant au mieux de sa position sur la route, était 4e après l'ES2. Puis son accélérateur lui a donné des soucis et il a dû s'arrêter dans l'ES3, laissant Dani Sordo assurer, pour l'instant, une 8e place provisoire.
Vainqueur des deux derniers rallyes, au Portugal et en Jordanie, l'autre Sébastien de chez Citroën, Ogier, a "peut-être été trop prudent" en début de boucle, ce qui l'a "empêché de trouver le bon rythme", mais il est resté au contact de Loeb, 5e à 20 secondes seulement.
Ogier a été devancé vendredi matin par les Fiesta des jeunes Evgeny Novikov et Mads Ostberg, qui partaient derrière lui et avaient donc moins de terre à balayer. Il aurait pu être devancé aussi par Petter Solberg, dans sa DS3 privée, si le Norvégien, auteur du premier temps scratch du rallye (ES1), n'avait pas dû faire un peu de mécanique.
Quatre autres spéciales étaient prévues vendredi après-midi (ES5 à ES8), soit 65 km chronométrés sur la même boucle que le matin.
AFP
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Sébastien Loeb (Citroën DS3) était en tête du rallye de Sardaigne, 5e manche du Championnat du monde des rallyes (WRC), après les quatre premières épreuves spéciales (ES1 à ES4), malgré le handicap de balayer la couche de terre en passant le premier sur la route.
"C'est plutôt pas mal, vu notre position sur la route", a dit Loeb au regroupement de Siamanna, avant une assistance express de 15 minutes dans ce petit village de la côte ouest de l'île. "Le balayage n'était pas si pénalisant, car le sol était très dur", a ajouté le septuple champion du monde, déjà débarassé de la Ford de Jari-Matti Latvala.
Le Finlandais, vainqueur en Sardaigne en 2009, est allé deux fois de suite à la faute, dans l'ES2 et l'ES3, et a arrêté les frais pour cette 1re journée. Mikko Hirvonen, deuxième sur la route dans l'autre Fiesta officielle, a été plus prudent, suivant les traces de Loeb, y compris "celles où il passait un peu large", et pointait à 13h00 à moins de trois secondes de l'Alsacien.
Cette première matinée marquait les débuts du retour de Mini en WRC et Kris Meeke, en profitant au mieux de sa position sur la route, était 4e après l'ES2. Puis son accélérateur lui a donné des soucis et il a dû s'arrêter dans l'ES3, laissant Dani Sordo assurer, pour l'instant, une 8e place provisoire.
Vainqueur des deux derniers rallyes, au Portugal et en Jordanie, l'autre Sébastien de chez Citroën, Ogier, a "peut-être été trop prudent" en début de boucle, ce qui l'a "empêché de trouver le bon rythme", mais il est resté au contact de Loeb, 5e à 20 secondes seulement.
Ogier a été devancé vendredi matin par les Fiesta des jeunes Evgeny Novikov et Mads Ostberg, qui partaient derrière lui et avaient donc moins de terre à balayer. Il aurait pu être devancé aussi par Petter Solberg, dans sa DS3 privée, si le Norvégien, auteur du premier temps scratch du rallye (ES1), n'avait pas dû faire un peu de mécanique.
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AFP
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