Automobilistes, échangez vos francs contre du carburant !
Actualité
Publié le: 04/07/2008 - Mis à jour le: 07/04/2015
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Nantes. Faire le plein tout en se débarrassant de ses vieux billets ? C'est ce que proposent les pompistes de Zola à leur clientèle.
À la station-service du quartier Zola, le sans-plomb coûte 50 F. Oubli de conversion ? Pas vraiment. Il est possible d'utiliser son ancienne monnaie pour acheter du carburant. « Je croyais qu'il était trop tard pour échanger nos francs ? », s'étonne une cliente. Le gérant rectifie. Si cela est vrai pour les pièces, les billets peuvent toujours être repris.
Isabelle Josselin et son mari, gérants de la station essence, reprennent l'idée d'un collègue de Deauville. Le pompiste du Nord a lancé cette initiative il y a un mois et demi. Sur la côte, on fait désormais le détour pour liquider ses vieux billets à la pompe.
Chez les clients, les réactions divergent. Certains n'y prêtent guère d'attention. Les francs sont déjà loin. Agréablement surpris, d'autres sautent sur l'occasion pour faire leurs fonds de tiroir. Pas besoin de passer par l'étape Banque de France. Et aucune démarche n'est nécessaire. La simplicité séduit. « J'ai retrouvé un billet de 50 F récemment. Mais qu'ai-je pu bien en faire ? » Après un instant de réflexion, la cliente, amusée, avoue. « Je crois bien l'avoir donné aux enfants pour qu'ils jouent avec. » Si les bambins ne l'ont pas égaré, voilà de quoi obtenir quelques litres d'or noir. Un trésor par les temps qui courent.
Source : Ouest-France -Caroline Venaille
Pratique : Station-service Avia 110, boulevard de l'égalité à Nantes.
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Nantes. Faire le plein tout en se débarrassant de ses vieux billets ? C'est ce que proposent les pompistes de Zola à leur clientèle.
À la station-service du quartier Zola, le sans-plomb coûte 50 F. Oubli de conversion ? Pas vraiment. Il est possible d'utiliser son ancienne monnaie pour acheter du carburant. « Je croyais qu'il était trop tard pour échanger nos francs ? », s'étonne une cliente. Le gérant rectifie. Si cela est vrai pour les pièces, les billets peuvent toujours être repris.
Isabelle Josselin et son mari, gérants de la station essence, reprennent l'idée d'un collègue de Deauville. Le pompiste du Nord a lancé cette initiative il y a un mois et demi. Sur la côte, on fait désormais le détour pour liquider ses vieux billets à la pompe.
Chez les clients, les réactions divergent. Certains n'y prêtent guère d'attention. Les francs sont déjà loin. Agréablement surpris, d'autres sautent sur l'occasion pour faire leurs fonds de tiroir. Pas besoin de passer par l'étape Banque de France. Et aucune démarche n'est nécessaire. La simplicité séduit. « J'ai retrouvé un billet de 50 F récemment. Mais qu'ai-je pu bien en faire ? » Après un instant de réflexion, la cliente, amusée, avoue. « Je crois bien l'avoir donné aux enfants pour qu'ils jouent avec. » Si les bambins ne l'ont pas égaré, voilà de quoi obtenir quelques litres d'or noir. Un trésor par les temps qui courent.
Source : Ouest-France -Caroline Venaille
Pratique : Station-service Avia 110, boulevard de l'égalité à Nantes.
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